Travailler depuis le metaverse devient une réalité

Le metaverse, un véritable nouvel espace de travail à considérer ? Entre fascination et frissons, Mehdi Dziri, directeur général d’Ubiq, une plateforme qui répertorie des bureaux en France, s’est fait son propre avis après une expérimentation de trois lieux physiques différents réunis virtuellement dans un metaverse. Heureusement le ridicule ne tue pas…

Paris, mars 2022. Avec mon casque de réalité virtuelle scotché sur la tête, je rejoins une partie de mon équipe dans notre nouveau bureau virtuel offrant à la team une superbe vue qui surplombe le lac d’Annecy. Dans ce metaverse, tout est aux couleurs d’Ubiq et complètement réaménagé avec nos codes.
Chaque membre de l’équipe s’est créé un avatar qui lui ressemble, à l’exception de notre Head of Product, qui s’est donné un style particulier, avec des cheveux encore plus longs qu’en vrai et un anneau dans le nez. A défaut de pouvoir investir dans des tableaux de maîtres pour notre (vrai) bureau, la semaine dernière, j’ai acheté en NFT le célèbre tableau Le Baiser de Gustav Klimt, qui trône dans notre bureau « metaversien ».

Travailler depuis le metaverse, c’est possible

Immersive, rassurante et créatrice de liens supplémentaires, c’est la première leçon que nous tirons de cette expérience. L’immersion est bien plus complète que lors d’une simple réunion en visio. Bien qu’il s’agisse d’une version Bêta, les avatars sont très réalistes grâce aux expressions du visage, aux postures, aux mouvements des bras, des yeux, des cils même et surtout grâce aux mimiques et voix de chacun, qui elles, sont bien réelles.

Cette immersion totale permet une grande concentration. Le monde réel autour de soi n’existe plus. Brouhaha, bruits de couloirs, conversations proches ou lointaines s’effacent complètement tant l’immersion est complète.

Metaverse is the new télétravail ?

Pour tous les secteurs, le metaverse ouvre un champ des possibles incroyable. Le monde du travail n’est pas en reste. Après deux années de télétravail à marche forcée, créant parfois un sentiment d’isolement, le bureau virtuel dans le metaverse vient créer un territoire inédit, en plus de la maison, des tiers lieux, des coworkings et autres espaces de travail proches de chez soi.

Si télétravailler est devenu la norme, il n’est pas toujours évident de créer un espace inclusif entre des collaborateurs présents au bureau et les remoters, surtout pendant les réunions et ateliers de travail. Depuis notre lieu de vie, on peut se sentir à l’écart. Il faut en permanence rapprocher le micro, parler plus fort, tourner la caméra.

Le metaverse permet de mettre tout le monde sur le même plan. On est dans un monde virtuel, mais connecté à la réalité. Cela permet d’imaginer de nouveaux modèles de collaboration hybrides.

Les limites du casque

Le meilleur moyen pour profiter pleinement de l’expérience Horizon Workroom reste d’avoir un casque de réalité virtuelle. Au-delà du fait qu’on risque de vous regarder bizarrement alors que vous travaillez avec un casque Oculus Quest 2 vissé sur la tête celui-ci est encore trop lourd (un demi-kg !), ce qui limite son utilisation à seulement quelques dizaines de minutes car il peut être gênant pour les yeux, provoquer des maux de tête ou un sentiment de malaise lié à la perte d’équilibre.

À l’heure où on travaille de partout, les digital nomads ont plutôt tendance à réduire leurs équipements et être les plus mobiles possibles.

Pour accéder à son bureau virtuel, le mieux reste d’avoir un bureau physique et sédentaire dans lequel on peut laisser son équipement et paramétrer sa zone de jeu.

Meta is watching you

N’oublions pas que Méta reste Facebook. Il est aujourd’hui possible d’entrer dans le metaverse pour accéder à l’application Workroom Horizon comme aux autres mais uniquement avec un compte personnel Facebook. Dans un monde où cet usage se développe, les casques seront-ils personnels ou fournis par l’entreprise ? Quelle segmentation des usages professionnels et privés permettront-ils ? Et surtout quels nouveaux types de données pourront-ils capter (expressions du visage, mouvements des yeux, etc..) ?

On ne peut pas nier qu’être vu de l’extérieur avec un casque scotché sur la tête nous rend ridicule. Mais plus que cela, cette expérience ne laisse personne insensible tant elle est révolutionnaire d’un point de vue sociétal et psychologique. Cette perspective d’un nouveau monde du travail et d’un mode de vie inédit est aussi effrayante que fascinante.

Lire aussi :

Source : start.lesechos

2022-04-18T10:33:06+02:0018 avril 2022|Catégories : Digital, Metaverse, PME|Mots-clés : , |0 commentaire

Marketing automation: les entreprises ne peuvent plus faire l’impasse

Le « marketing automation » est une porte ouverte sur la possibilité d’un travail mené conjointement avec les services marketing et commerciaux, avec pour objectif premier de convertir des leads. Cette avancée technologique, combinée à l’automatisation des process et à la possibilité de piloter tous ces éléments à partir d’une seule et même plateforme permet d’être plus efficace, de mieux rationaliser les coûts et d’avoir de meilleurs résultats.

Dans un premier temps, il est important de se demander sous quelles formes on peut exploiter ces différentes techniques marketing pour développer son business. Mais le sujet que nous nous proposons d’aborder aujourd’hui est le suivant : Quel impact le marketing automation et sa mise en application peuvent-ils avoir sur mon entreprise ?

Marketing automation : une avancée désormais incontournable

Armelle Jaclot, Global Business Manager chez ISDI et responsable de la stratégie marketing du groupe à l’échelle internationale, rend compte du changement de paradigme expérimenté par le marketing au cours de ces dernières années : « Le marqueteur est contraint de s’adapter à ces nouveaux mécanismes pour ne pas se retrouver « à la traîne ». Le marketing d’aujourd’hui place le client au centre de tout. La communication des entreprises se doit d’être précise et en adéquation avec les besoins de ses interlocuteurs. C’est pourquoi l’automatisation constitue aujourd’hui le meilleur allié des services marketing. »

Le marqueteur est contraint de s’adapter à ces nouveaux mécanismes pour ne pas se retrouver « à la traîne ».

Pour tirer le meilleur parti possible de cette automatisation, Salesforce nous explique qu’il est indispensable d’élaborer une stratégie reposant sur quatre axes majeurs : l’e-mailing, les réseaux sociaux, la messagerie mobile et la publicité. Dans chacun de ces domaines, le facteur humain reste déterminant car il permet de développer l’engagement du client, toutefois un logiciel de marketing automation permet de « mener des campagnes individuelles ou multicanales, et de construire sur la base de ces campagnes des « customer journeys » personnalisés pour chaque client. »

Création et analyse des parcours clients à l’aide de Marketing Cloud

Marketing automation
Nous pourrions développer sur plusieurs pages les divers avantages du marketing automation, mais nous avons choisi d’en retenir sept principaux :

  • Lead Capture : Pour mieux saisir les possibilités et la portée de chaque action. Par exemple, les utilisateurs arrivant sur une landing page sont invités à renseigner leurs données (email, code postal et situation professionnelle) pour recevoir un livre blanc ou télécharger un ebook.
  • Lead scoring et management : l’utilisation de données (démographiques, relatives au comportement etc.) pour isoler les clients potentiels des internautes qui sont simplement de passage sur le site ou sur les réseaux. La gestion de ce type de scoring permet aux services marketing et commerciaux d’identifier quels clients sont disposés à interagir avec l’entreprise et quels sont ceux qui ont besoin de laisser mûrir leur intérêt ou leur implication (nurturing).
  • Lead nurturing : ce temps de maturation que nous venons d’évoquer peut être facilité par l’envoi d’e-mails de suivi, et l’automatisation permet de développer l’engagement et de proposer le bon contenu au bon moment, afin de convertir ces leads.
  • Gestion des campagnes : SEO, écoute sociale, gestion de campagnes automatisées… C’est via l’automatisation que l’on est en capacité de se concentrer sur la stratégie, dans la mesure où le CRM nous permet de piloter l’activité beaucoup plus facilement.
  • Gestion du contenu : de la même manière, la gestion des publications sur les réseaux, des e-mails pour les campagnes etc. peut être menée depuis une seule et même plateforme. À noter en plus de cela qu’à chaque fois qu’il est nécessaire d’actualiser une ressource, elle est mise à jour pour toutes les campagnes et sur tous les réseaux en temps réel.
  • CRM integration : l’intégration dans le CRM permet de poursuivre le processus d’activation d’un lead potentiel, dès que l’opportunité se présente sur les réseaux sociaux, et jusqu’à ce qu’il soit envisageable de confier cette éventuelle conversion au service commercial.
  • Rapports et statistiques : le marketing automation permet de collecter une multitude de données. Si l’on combine cela à une intégration réussie dans un CRM, il devient possible de générer des rapports automatisés regroupant ces données, et ce afin de favoriser une planification plus avisée.

Intégrer l’automatisation via un CRM

Parmi les divers avantages relatifs à l’intégration d’une stratégie de marketing automation via un CRM, Salesforce insiste sur la possibilité de signaler les meilleurs leads aux services commerciaux, de diffuser des messages personnalisés, de maintenir le lien avec les leads tout au long du customer journey et d’analyser dans le détail quelles sont les campagnes qui fonctionnent et pourquoi.

Armelle Jaclot insiste par ailleurs sur le fait que « cela permet surtout aux équipes du marketing et aux commerciaux de gagner du temps et de rationnaliser les investissements. Nous disposons en outre d’une meilleure connaissance des leads grâce au système de scoring du CRM, ce qui facilite ensuite le processus de nurturing. En bref, les entreprises bénéficient d’un meilleur retour sur investissement sur les actions menées par leurs équipes, et ce, en fournissant moins d’efforts. »

En ce qui concerne les données, rien de tel que quelques chiffres pour montrer que le marketing automation fonctionne réellement. L’article de Salesforce met en avant les deux chiffres les plus parlants :

  • Le marketing automation fonctionne bel et bien: cette automatisation génère une hausse de 14,5 % des ventes et de la productivité et permet une baisse de 12,2 % des dépenses marketing de l’entreprise.
  • Des leads en forte hausse : le fait d’adopter une stratégie de marketing automation permet de générer une hausse de 27 % du volume de leads, une croissance de 30 % du taux de conversion et une hausse de 25 % du retour sur investissement constaté.

En définitive, l’automatisation du marketing est un jalon clé de développement pour toute entreprise : chaque process automatisé permet aux experts des services marketing et commerciaux de se consacrer à la stratégie globale et au suivi des potentiels clients (lead nurturing). De même, les plateformes de marketing automation permettent d’intégrer à partir d’un seul et unique point d’accès toutes les données relatives à ces différents clients, et de réaliser un suivi beaucoup plus personnalisé – et automatisé – pour chaque prospect.

Lead nurturing ou comment boucler la boucle

“Au sein d’ISDI, l’automatisation de nos process marketing nous a permis de gagner significativement en agilité et de nous adapter beaucoup plus facilement aux fluctuations du marché », confirme Armelle Jaclot. « Aujourd’hui, nous savons à qui nous nous adressons et comment communiquer avec ces différentes cibles, nous connaissons l’impact des différentes actions que nous menons et les données orientent toutes les décisions que nous prenons. Nos équipes commerciales se sentent plus soutenues par le service marketing et nous parvenons ensemble à avoir beaucoup plus d’impact qu’auparavant. »

Selon Gleanster Research, 50 % des leads générés par une entreprise sont potentiellement qualifiés, mais pas encore prêts à se lancer et à acheter.

Avec le marketing automation, il devient possible d’accompagner ou de guider, via le lead nurturing, cette catégorie de prospects sans avoir besoin de constituer une équipe dédiée à la réalisation de ce suivi.

Pour capter davantage de leads, rien de tel que le marketing personnalisé : si l’on en croit le site Pardot, « 77 % des consommateurs souhaitent recevoir du contenu unique et spécifique à chaque étape de leur recherche » (de produit). Sans compter que par le biais de ce processus d’interaction avec le client, il est possible d’enregistrer chaque nouvel input d’information sur ce dernier, ce qui sert ensuite à personnaliser encore davantage la relation client.

2022-04-10T11:56:36+02:0010 avril 2022|Catégories : Digital, ETI, GE, Marketing, PME, TPE|Mots-clés : , , , |0 commentaire

Metaverse College, la nouvelle école dédiée au metaverse

Le Metaverse College est le premier établissement d’enseignement supérieur dédié aux métiers porteurs d’avenir dans le Monde et membre du Collège de Paris. L’école ouvrira ses portes à la rentrée 2022 dans la Grande Arche de la Défense, au cœur du premier quartier d’affaires européen, un écosystème privilégié pour suivre les évolutions tech des plus grands acteurs de l’économie française et internationale.

Métaverse collège
NFTs, Cryptomonnaies, Meta Patrimoine… Le metaverse, cet univers virtuel immersif, est en phase de devenir un nouveau paradigme sociétal à l’ampleur mondiale. Encore peu connu du grand public, l’arrivée de cette nouvelle technologie est imminente. Les paris s’accumulent sur ce que ce nouvel espace numérique attrayant pourrait signifier en termes de monétisation.

Persuadé que ce nouveau terrain numérique qui impacte d’ores et déjà nos usages, nos pratiques et les stratégies des entreprises, représente l’avenir avec de nouvelles opportunités, Ridouan Abagri lance Metaverse College. « Notre mission est de préparer les étudiants aux métiers de metaverse. Mais aussi, de faire en sorte d’avoir des étudiants ’caméléons’ sur ce marché pour répondre à des appels d’offres », explique-t-il.

La pédagogie

Accessible en alternance ou en formation initiale, Metaverse College formera des jeunes profils polyvalents, en charge de la conception d’un nouveau monde virtuel.

Les cours théoriques seront enrichis tout au long de l’année de conférences, visites d’entreprises, workshops avec des entreprises et autres expériences professionnalisantes permettant aux élèves de s’immerger pleinement dans l’univers du metavers et dans son développement exponentiel.

Les formations

L’école a choisi d’orienter ses formations autour de trois grands domaines, appuyés par des établissements spécialisés, membres du Collège de Paris : EXCHANGE COLLEGE – DIGITAL COLLEGE – ECOLE CONTE – faisant ainsi bénéficier Metaverse College d’un socle d’expertises solide :

  • La Fintech : à travers la cryptomonnaie et la blockchain ou le metapatrimoine
  • L’art : les NFTs ou encore le design produit d’œuvres digitalisées
  • Le développement et la data : la conception d’univers virtuels et la gestion efficiente de ces projet

Accessibles dès le niveau bac +3 jusqu’à bac +5, les premiers programmes proposés déboucheront sur des titres RNCP reconnus par l’Etat aux niveaux 6 et 7 :

  • Bachelor 3 Chef de projet Metaverse
  • Ms1 et Ms2 Metaverse & Data Science
  • Ms2 Metaverse Product Designer
  • Ms2 Management de la cryptomonnaie, des NFTs et du metapatrimoine

Source : Studyrama

2022-03-29T06:38:36+02:0029 mars 2022|Catégories : Digital, Formation, Metaverse|Mots-clés : , |0 commentaire

Pourquoi faire du marketing digital et quels sont ses avantages ?

Le marketing digital consiste à faire connaître et à promouvoir une marque en utilisant tous les canaux numériques disponibles.

Le marketing digital consiste à faire connaître et à promouvoir une marque en utilisant tous les canaux numériques disponibles. Les différents canaux comprennent le web, le SEM (qui comprend le référencement et la publicité par paiement au clic), les smartphones, les boutiques d’applications (Google Play, Apple Store), le marketing par courriel, les bannières publicitaires en ligne et les médias sociaux.

L’utilisation de plateformes numériques nous permet de comprendre le public auquel nous nous intéressons, ainsi que d’améliorer la commercialisation de notre produit ou service. Par conséquent, bien que nous puissions faire appel aux services d’un expert en la matière, il est conseillé de connaître clairement certains de ses principaux concepts. Surtout si l’on cherche à aller de l’avant avec sa propre entreprise et à faire des bénéfices.

Marketing digital
Avantages du marketing digital

Chacun de ces types de marketing a ses avantages. Il ne s’agit pas de privilégier l’un ou l’autre, mais plutôt de reconnaître que chacun peut donner des résultats différents. Tout dépend de votre stratégie et de votre approche. Examinons les avantages de chacun.

Marketing traditionnel

  • Il a un pouvoir de rayonnement indéniable. Le nombre de personnes touchées par la télévision, la radio et la presse écrite constitue sans aucun doute son grand potentiel.
  • Il est totalement axée sur le produit en parlant de ses caractéristiques et de ses avantages.
  • Il est indépendante de l’existence de l’internet, nous pouvons en faire l’expérience simplement en allant dans un centre commercial.

Marketing digital

  • Sa portée ne cesse de croître grâce à l’accès des gens à l’internet et aux plateformes numériques : elle ne cesse de s’étendre.
  • Il évolue constamment : la page d’accueil de Google n’est plus la même il y a cinq ans qu’aujourd’hui, et l’affichage des annonces s’est amélioré.
  • Il se concentre sur l’utilisateur du produit ou du service à promouvoir, sur la connaissance du client, de ses intérêts et de ses besoins.
  • Les résultats de leurs stratégies sont faciles à mesurer, l’accès aux informations recueillies est illimité.
  • Vous pouvez le faire vous-même sans l’approbation de tiers en apprenant comment des outils tels que Google Ads ou Facebook Ads.

Inconvénients du marketing digital

Bien que chacun d’entre eux ait beaucoup à offrir, il est important de reconnaître les avantages de chaque type et de tenir compte des inconvénients afin de les comparer.

Marketing traditionnel

  • Il nécessite un investissement plus important. Ce type de marketing a un coût élevé en raison du niveau d’accessibilité. Les publicités du Super Bowl aux États-Unis, dont les chiffres se chiffrent en millions de dollars, en sont un exemple.
  • Il n’est pas facile de mesurer son impact. Une fois l’investissement réalisé, il n’y a aucun moyen de mesurer son impact pour la marque, car il n’y a pas d’accès automatique aux données qui permettraient de réaliser une telle étude.
  • Il dépendra presque toujours de l’approbation de sociétés tierces qui s’occupent de publicité dans les médias. Cela ne dépend pas seulement de vous mais aussi de l’approbation d’un plus grand nombre de personnes sur votre contenu.

Marketing digital

  • Si vous vous concentrez sur la publicité de masse, vous n’obtiendrez peut-être pas les résultats obtenus par le marketing digital, car ce dernier repose trop sur l’interaction de l’utilisateur avec le numérique.
  • Il nécessite l’utilisation de plateformes numériques et d’un accès à l’internet.

Comment se complètent-ils ?

Chaque type de marketing permet d’atteindre différents types de publics. Si vous envisagez d’utiliser ces deux canaux, il est important de savoir qu’ils viennent compléter votre stratégie.

Par exemple, si vous souhaitez augmenter instantanément les ventes de votre entreprise, un panneau d’affichage sur la porte de votre commerce suffira, offrant une réduction incontournable aux passants. Mais si vous le faites aussi sur votre site web ou par le biais des médias sociaux, les résultats seront certainement encore meilleurs.

Si, en revanche, vous n’offrez pas un produit ou un service qui fait l’objet d’une consommation aussi massive, le marketing digital vous permet d’apprendre à connaître la personne que vous souhaitez cibler et, sur la base des données que vous recueillez telles que la localisation et l’âge, de participer à la publicité de masse pour attaquer cette niche de marché par le biais des médias traditionnels.

L’importance de chacun d’entre eux aujourd’hui

Ce n’est un secret pour personne que l’internet a transformé la façon dont nous consommons l’information. C’est pourquoi le marketing digital et le e-commerce a gagné en force et en présence dans notre vie quotidienne.

La télévision a été remplacée par Netflix ou Youtube, et la radio a cédé la place à Spotify ou Deezer. La presse est passée aux versions numériques ou chaque marque a inventé sa propre newsletter.

Le marketing traditionnel restera important pour ceux dont les habitudes de consommation ne sont pas aussi étroitement liées aux médias en ligne. Vous pourriez vous demander quel genre de personnes sont ces gens ? Les personnes qui n’ont pas accès à l’internet, ou celles qui ne s’intéressent pas aux interactions avec les médias numériques.

Le marketing digital continuera à se développer tant que les plateformes numériques existeront, il n’y a aucun moyen de savoir jusqu’où, mais ce qui est certain, c’est qu’il continuera à se transformer pour améliorer la sensibilisation des utilisateurs et l’expérience de la marque.

Conclusion

Les stratégies de marketing peuvent être mises en œuvre par le biais de canaux hors ligne ou en ligne, l’important étant de savoir comment délivrer le message qui, selon vous, sera le plus utile aux personnes qui connaissent votre marque.

Source : JDN

2022-03-19T08:54:19+01:0019 mars 2022|Catégories : Digital, ETI, GE, Marketing, PME, TPE|Mots-clés : , |0 commentaire

Les PME peuvent rivaliser avec les géants de l’e-commerce ? Oui, grâce aux technologies !

À l’heure de la digitalisation accrue, les e-commerçants peuvent accéder à des technologies de pointe pour concurrencer les plus grands acteurs mondiaux du commerce électronique.

Dotés d’équipes d’ingénieurs et d’investissements importants dans des logiciels, des partenariats technologiques et des outils d’analyses. Grâce aux services SaaS et à un modèle commercial optimal, les e-commerçants à plus petite échelle peuvent se hisser à la pointe de l’innovation à prix raisonnable. Quelles sont les technologies incontournables pour répondre à leurs besoins et tenter de rattraper les grands acteurs mondiaux ?

Les systèmes de planification des ressources d’entreprise (ERP)

Utiles pour un suivi quotidien des entreprises en ligne, impliquant la gestion des stocks, l’analyse des ventes et la gestion des projets, les ERP aident à réduire le temps consacré aux tâches administratives et à gagner du temps pour se concentrer sur d’autres priorités afin de stimuler la croissance. Les meilleurs systèmes ERP s’appuient sur l’apprentissage automatique et l’intelligence artificielle (IA) pour automatiser les processus et offrir des données perspicaces sur l’entreprise. Certains e-commerçants s’associent aujourd’hui à des ERP basés sur le cloud ; une approche innovante qui apporte encore plus de flexibilité, de liberté d’évolution et permet de rester concentré sur le métier de l’entreprise tout en bénéficiant d’une gestion aussi ouverte que sécurisée.

Les prestataires de services de paiement (PSP)

L’utilisation d’un PSP est une évidence pour tout e-marchand en pleine croissance. Ce type d’outil fait office d’intermédiaire entre la boutique en ligne, les options de paiement et les clients. Un partenariat avec un PSP permet d’offrir aux clients plusieurs méthodes de paiement. Les bons prestataires s’occupent également de l’ensemble du processus de transfert des paiements électroniques : ils veillent à ce que les clients paient leurs factures à temps, gèrent les risques de sécurité et de fraude et offrent des informations en temps réel sur leur activité.

Les technologies de gestion de la relation client

Les systèmes de gestion de la relation client (CRM) peuvent aider à offrir de meilleures expériences aux clients, à rationaliser les processus et à augmenter les conversions. Outre les informations de base qu’ils fournissent – historique des clients, incidents, état des commandes – un CRM avancé peut donner des informations plus détaillées, comme le sentiment des médias sociaux sur sa marque et ses concurrents. Ils offrent également désormais des processus d’automatisation de pointe, affinent les activités à l’aide de l’intelligence artificielle et proposent même des chatbots permettant de guider les prospects dans les tunnels de marketing et de vente.

Les outils d’analyse

Les e-commerçants ont désormais accès à de vastes quantités de données clients. Grâce aux outils analytiques, ces données favorisent la personnalisation de l’expérience client, l’identification des fraudes et l’optimisation de la tarification. Elles peuvent également prédire les tendances et la demande pour ensuite permettre de constituer des stocks en amont des pics saisonniers ou même de proposer de nouveaux produits pour augmenter les ventes. Certains des meilleurs outils d’analyse du marché sont basés sur le cloud. Ainsi, ils peuvent traiter et analyser les données extrêmement rapidement, donnant aux e-commerçants un avantage concurrentiel sur leurs pairs. Les outils d’analyse utilisant des technologies avancées telles que l’IA donnent accès à des perspectives et des recommandations.

Les solutions d’expédition

Ces outils peuvent automatiser les processus logistiques notamment la gestion et le suivi des livraisons. L’enseigne peut ainsi organiser les flux d’expédition pour identifier les gains d’efficacité et réduire les coûts. Plus important encore, cela peut favoriser la satisfaction client avec des livraisons en créneau horaire, un suivi en temps réel et des retours simplifiés. Aujourd’hui, les logiciels d’expédition haut de gamme vont au-delà de l’expédition de base et offrent des informations et des notifications en temps réel, automatisant autant que possible le processus logistique avec des rapports pour améliorer l’efficacité.

Au-delà du coût que cet apanage technologique peut représenter, trouver la bonne technologie selon ses besoins n’est pas évident. Il est essentiel de garder à l’esprit lors du choix d’une nouvelle solution qu’elle doit s’intégrer à la technologie utilisée actuellement et réfléchir à la manière dont chacun des outils sélectionnés permettra de faire évoluer son entreprise.

Source : JDN

2022-03-16T06:20:21+01:0016 mars 2022|Catégories : Commerce, Digital, eCommerce, PME|Mots-clés : , |0 commentaire

Conflit ukrainien : les 10 recommandations de cybersécurité pour protéger les entreprises

En réponse à l’évolution du conflit russo-ukrainien, plusieurs agences gouvernementales ont publié des recommandations pour renforcer la cybersécurité. C’est le cas de l’Anssi (agence nationale de la sécurité des systèmes d’information) en France qui vient de rendre un rapport sur l’état de la menace et les bonnes pratiques à adopter.

Aux Etats-Unis, la CISA (Cybersecurity and Infrastructure Security Agency) a récemment publié un avis intitulé Shields Up. L’agence rappelle que « au cours de la dernière décennie, le gouvernement russe a utilisé le vecteur cyber comme élément clé de sa réponse militaire » et elle prévient que la Russie pourrait envisager des actions visant à perturber l’extérieur de l’Ukraine. Alors, que faut-il faire pour protéger son entreprise ? Inutile de se précipiter et d’apporter des changements radicaux à son réseau. Mieux vaut profiter de ces événements pour faire un audit de l’état du réseau et programmer des changements futurs. Voici quelques-unes des actions à entreprendre, selon les deux agences :

1. Revoir et mettre à jour ses plans de réponse aux incidents

Il est important de passer en revue la planification des réponses aux incidents (IRP). Ces plans sont-ils à jour ? Prennent-ils en compte les dernières cyberattaques destructives menées par la Russie contre l’Ukraine ?

2. Renforcement des solutions et services de sécurité

Le guide intitulé « Hardening to Protect Against Destructive Attacks » (« Renforcement pour se protéger contre les attaques destructrices ») publié par l’entreprise de sécurité Mandiant contient de nombreux conseils qui méritent l’attention. Mandiant et la CISA recommandent en premier lieu aux entreprises d’examiner tous les accès distants de leur réseau et de mettre en place une authentification multifactorielle (MFA). Personne ne devrait pouvoir se connecter à distance sans une modalité d’authentification supplémentaire, en plus du mot de passe, soit via une application à deux facteurs, soit à l’aide d’un jeton qui fournit un code à saisir.

Même conseil de la part de l’Anssi qui prône une authentification forte nécessitant l’utilisation de deux facteurs d’authentification différents soit :

  • un mot de passe, un tracé de déverrouillage ou une signature
  • un support matériel (carte à puce, jeton USB, carte magnétique, RFID) ou a minima un autre code reçu par un autre canal (SMS).

3. Exploiter des sources externes d’informations sur les menaces

Que ce soit à l’aide d’un outil partagé entre collègues sur un forum ou une session de chat, il est important de partager des informations et d’échanger des conseils entre personnes ou communautés de confiance en privilégiant les informations spécifiques à son secteur d’activité. Len entreprises qui ne disposent pas de ce type de ressources peuvent s’informer via des canaux gouvernementaux comme Infragard aux États-Unis, et vers la ressource locale de sécurité informatique de leur pays. En France, ce rôle est assuré par l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI). Les conseils et les informations du CISA, de l’Australian Cyber Security Centre et de l’UK National Cyber Security Center, pour ne citer que ceux-là, offrent également des ressources accessibles à tous.

4. Évaluer les risques de la connectivité Internet et réseau

Les entreprises qui se trouvent dans une zone à risque doivent se préoccuper de la sécurité de leur connectivité Internet et réseau. Selon plusieurs rumeurs, des banques et des entreprises ont été ciblées par des attaques en Ukraine. N’oublions pas que l’attaque par ransomware Maersk visait à l’origine les entreprises ukrainiennes. En juin 2017, NotPetya avait également ciblé des entreprises en Ukraine, s’en prenant spécifiquement aux institutions gouvernementales, financières et énergétiques.

5. Étudier les risques liés aux liens des entreprises et des infrastructures avec la Russie

Si l’un des déploiements dans le cloud de l’entreprise se fait sur des serveurs en Russie, celle-ci peut envisager de déplacer ses données vers un autre datacenter. Et si une entreprise utilise les services de développeurs de logiciels ou d’un support informatique basé en Russie ou dans des pays environnants, elle devrait aussi en évaluer l’impact sur son réseau, et s’interroger sur des alternatives éventuelles.

6. Rattraper son retard en matière de correctifs

Plusieurs campagnes de correctifs se sont succédées ces derniers mois, correctifs que certaines entreprises ont peut-être omis d’appliquer. Un passage en revue des vulnérabilités exploitées connues, en particulier celles identifiées et listées par la CISA, permet de s’assurer au minimum que ces correctifs ont été appliqués. Configurer son pare-feu en limitant l’accès aux seuls sites et lieux qui ont réellement besoin de se connecter au réseau de l’entreprise fait aussi partie des bonnes pratiques. Pour les services cloud, la tâche peut s’avérer plus complexe, mais pour les serveurs sur site qui ne fournissent pas de services à tous, le filtrage des accès selon des profils personnalisés constitue une bonne parade. Une limitation de l’accès du contrôleur de domaine à ceux qui ont vraiment besoin de se connecter au site est également une parade efficace.

7. Remonter la sécurité dans Microsoft 365

L’enregistrement de toutes les informations qui pourront fournir des renseignements utiles en cas d’attaque fait aussi partie des recommandations. Une entreprise à haut risque disposant d’un abonnement Microsoft 365 peut activer l’abonnement de sécurité E5 plus élevé pour certains de ses utilisateurs, mais pas nécessairement pour tous. Les offres Microsoft 365 permettent aussi de mettre en place une journalisation, une investigation et une protection supplémentaires pour des utilisateurs spécifiques.

8. Tester les processus de sauvegarde et de restauration

En cas de restauration de ses systèmes, l’entreprise doit savoir si elle pourra restaurer un grand nombre de services en même temps. Pour cela elle doit disposer d’une liste de contrôle précisant toutes les étapes de la restauration. Il est préférable de tester à l’avance son processus de restauration. Estimer le temps qu’il faut pour restaurer un seul serveur et l’ensemble du réseau peut fournir un autre indicateur intéressant à l’entreprise.

L’Anssi ajoute dans ces recommandations des sauvegardes régulières de l’ensemble des données, y compris celles présentes sur les serveurs de fichiers, d’infrastructures et d’applications métier critiques.

9. Préparer le personnel IT et de sécurité à la gestion de crise

L’entreprise a tout intérêt à préparer son personnel IT à ce type d’évènement. La pandémie avait déjà mis de nombreuses ressources IT à rude épreuve, avec parfois des réductions dans les budgets. Il est important d’estimer l’état de ces ressources et la préparation du personnel sur les plans de réponse aux incidents pour réévaluer ses priorités. Quelle que soit sa taille, l’entreprise a tout intérêt à savoir de quelles options et de quelles ressources elle dispose.

Elle peut profiter de ce contexte pour faire des simulations et s’assurer qu’elle est prête à faire face aux risques. Des jeux de carte comme « Backdoors and Breaches », de l’éditeur Black Hills, permettent de générer des risques types et de tester les réactions à ces problèmes. Ces jeux permettent à l’entreprise de tester des scénarios réalistes, par exemple l’ingénierie sociale, la compromission de serveurs Web et le bourrage d’identifiants. Le gardien français rappelle des règles de bon sens. « Définir des points de contact d’urgence, y compris chez les prestataires de services numériques et s’assurer d’avoir les numéros en version papier est particulièrement utile dans ces situations ».

10. Évaluer les faiblesses du réseau

L’entreprise doit analyser son réseau externe et identifier ses faiblesses. Pour cela, elle peut faire appel à une équipe de pentesteurs ou à un consultant externe. Aux États-Unis, une entreprise qui travaille pour une administration fédérale, d’un état, locale, tribale ou territoriale, ou une entreprise d’infrastructure critique des secteurs public et privé, peut profiter gratuitement des services d’évaluation de la cybersécurité du CISA. Sinon, toute entreprise peut au minimum identifier les risques auxquels elle est potentiellement exposée à l’aide de moteurs de recherche publics capables d’identifier les vulnérabilités dans un réseau externe. Avec des outils comme Shodan et Censys, il est possible de savoir à quelles informations du réseau les attaquants ont accès.

Il est important pour chaque entreprise de passer en revue les risques auxquels elle est exposée et de savoir où se trouvent ses faiblesses. Les attaques complexes commencent souvent par une simple faille qu’un attaquant peut utiliser ensuite pour se faufiler, effectuer des mouvements latéraux, enquêter et attendre le bon moment pour lancer son attaque.

Source: le monde informatique

2022-03-05T14:20:30+01:006 mars 2022|Catégories : Conseil, Digital, ETI, GE, PME, TPE|Mots-clés : , |0 commentaire

Comment être à jour et suivre les tendances du marketing digital ?

Le monde du digital évolue sans cesse et très rapidement ! Il est de ce fait important de se former sur les pratiques, les outils et les différents leviers liés au marketing digital notamment. Découvrez comment être à jour.

Avec l’accroissement des outils d’automatisation et l’évolution des algorithmes, la digitalisation des entreprises a connu une ascension fulgurante ces dernières années.

D’après une étude menée par Infosys Knowledge Institute (IKI), plus de 90 % des entreprises ont adopté des outils digitaux pour atteindre leurs objectifs.

Pour tirer profit des tendances du digital et des technologies émergentes, les entreprises doivent repenser et mettre à jour leurs stratégies marketing en temps réel.

Découvrez ci-dessous quelques recommandations pratiques à mettre en place pour améliorer votre stratégie digitale en fonction des nouvelles tendances.

Suivez une formation qualifiée en marketing digital

Le marketing digital représente aujourd’hui un véritable levier qui permet aux entreprises d’améliorer leur image et de rester compétitives. Cependant, cette tâche implique notamment la maîtrise d’un certain nombre de compétences et des connaissances sur le plan numérique. Face à cette situation, il est recommandé de suivre une formation en marketing digital pour mieux s’adapter aux nouvelles tendances.

Formation
Avec une telle formation, l’adoption des nouvelles tendances en rapport avec les logiciels d’automatisation ou les algorithmes intègre votre stratégie marketing de façon continue. Pour ce faire, il est conseillé d’opter pour un organisme de formation de référence qui pourra vous permettre d’avoir les connaissances nécessaires sur les thématiques digitales.

Les modules de formation en marketing digital conviennent aux personnes désireuses de gérer ou d’accroître la visibilité de leur marque, de leurs services ou de leurs produits en ligne. En ce qui concerne les profils éligibles à ce type d’apprentissage, nous avons notamment :

  • les directeurs et les responsables marketing et communication,
  • les chefs de produits et de projets marketing et communication,
  • les chargés de clientèle de design ou de clientèle dans une agence de communication…

En suivant ce type de formation auprès d’un organisme qualifié, vous pouvez intégrer de façon efficace le digital dans votre stratégie marketing-communication tout en le mettant à jour en temps réel. Elle comprend des modules axés sur les enjeux du digital pour les entreprises, l’élaboration d’un plan e-marketing, les leviers d’acquisition et de fidélisation de la clientèle…

À l’issue de ce type de formation, vous pouvez maîtriser les connaissances fondamentales en matière de webmarketing, ce qui vous permettra de bien choisir vos prestataires et les outils d’automatisation en fonction des nouvelles tendances digitales. Vous pouvez également assurer efficacement le pilotage opérationnel de vos actions sans aucune complaisance.

L’autre particularité de ce type d’apprentissage est liée à la possibilité de suivre votre formation en ligne via une plateforme dédiée depuis votre ordinateur ou votre smartphone. Cette option permet d’adapter votre formation à votre emploi du temps et à votre rythme d’assimilation de connaissances.

Optimisez votre présence web avec des contenus interactifs

Au fil des années, les contenus interactifs occupent de plus en plus une place prépondérante dans le marketing digital. Il s’agit notamment de l’une des tendances digitales ayant plus de chances de devenir virales et de convertir les prospects en clients qu’un contenu classique. Au nombre des contenus interactifs qui peuvent vous permettre de garder une longueur d’avance sur vos concurrents, nous avons les vidéos de réalité virtuelle, les images 3D, les infographies, les sondages, les questionnaires…

Ces différents contenus sont incitatifs et vous permettent d’améliorer efficacement votre taux de conversion. Le caractère interactif de ces types de contenus participe au renforcement du lien entre les prospects ou les clients et la marque concernée. Il permet également à vos internautes de bien cerner le message que vous voulez véhiculer ou le produit à présenter. C’est la raison pour laquelle il est conseillé de proposer des contenus très originaux et qualitatifs pour mieux vous démarquer.

Pour créer des contenus interactifs, il est important de bien identifier en amont les besoins de vos cibles. Prenez en compte les inquiétudes et les préoccupations les plus courantes de vos internautes et de vos clients. Lorsque vous optez pour un contenu interactif, n’oubliez pas de diversifier votre stratégie digitale. Dans la création de vos contenus, utilisez des mots clés pertinents et insérez des liens de redirections vers les pages de vos réseaux sociaux. Vous devez encourager également les avis de vos lecteurs de façon régulière.

Optez pour la publicité vidéo sur les réseaux sociaux

Avec l’essor des plateformes comme Facebook, Instagram, TikTok et même YouTube, le format vidéo devient plus ou moins populaire et efficace pour attirer l’attention des internautes.

D’après une étude récente menée par eMarketer, la plupart des internautes optent pour des services d’une entreprise ou achètent un produit après avoir visionné une vidéo.

À titre d’information, les plateformes qui étaient principalement axées sur les images sont devenues aujourd’hui un flux rempli de vidéos.

La publicité vidéo influence sur le pouvoir d’achat des internautes et favorise efficacement la conversion de vos prospects en clients. Elle permet aux entreprises de mettre en avant les fonctionnalités et les avantages de leurs marques ou de leurs produits. Les particuliers peuvent se servir des publicités vidéo pour mettre en avant leurs compétences respectives.

Pour faire de la publicité vidéo une partie substantielle de votre stratégie digitale, vous pouvez combiner les publications traditionnelles avec les « stories » (histoires). La plupart des canaux sociaux sont dotés d’une fonctionnalité qui permet aux entreprises et aux particuliers de partager des publications disponibles seulement pendant 24 heures. Avec une telle fonctionnalité, il est possible de partager régulièrement des messages plus authentiques et plus bruts pour accroître votre taux de conversion.

Ajoutez un chatbot à votre site internet

Chatbot
Les nouvelles tendances liées à l’intelligence artificielle (IA) ont donné un coup de pouce considérable au marketing conversationnel. Il s’agit notamment d’un style de communication basé sur le dialogue en vue de stimuler l’engagement des prospects.

L’intelligence artificielle aide les entreprises à se concentrer sur des tâches importantes au détriment des processus marketing répétitifs.

Au-delà des méthodes traditionnelles telles que les échanges d’emails et des médias personnalisés, les chatbots automatisés sont efficaces pour améliorer votre stratégie de communication en entreprise. Les chatbots se révèlent plus rentables sur le plan économique et ont la capacité de traiter près de 90 % des requêtes des clients.

Outre ces aspects, les chatbots peuvent être synchronisés sur plusieurs plateformes, à la fois Facebook, Twitter… Toutefois, il est important d’opter pour un chatbot qui convient aux préférences de vos clients pour des résultats probants.

Intégrez la recherche vocale dans votre campagne marketing

La recherche vocale est une fonctionnalité pratique qui permet aux utilisateurs de formuler des requêtes relatives à certaines informations à mains libres. Avec la création des produits tels que Google Home, Alexa ou Google Assistant, plus d’un tiers des recherches sur le web sont des recherches vocales. La plupart des internautes utilisent cette fonctionnalité pour trouver des informations sur des marques, des produits, des entreprises…

Avec l’émergence de cette fonctionnalité, il est important d’optimiser vos contenus pour la recherche vocale. Cette tâche diffère notamment de l’optimisation pour la recherche de texte.

Elle consiste à repenser votre stratégie d’optimisation des moteurs de recherche en adoptant un style conversationnel et des mots clés bien ciblés. Pour ce faire, n’hésitez pas à mettre à jour votre compte « Google My Business » de façon régulière.

Privilégiez un marketing respectueux de l’environnement

Environnement et digital
Pour rester en phase avec les tendances sociales, il est important de proposer des offres et des produits respectueux de l’environnement. Les consommateurs modernes optent notamment pour des produits durables provenant des entreprises certifiées. Pour cela, il est recommandé d’intégrer des idées vertes dans votre culture d’entreprise.

À travers vos flux de médias sociaux ou vos supports marketing, vous devez montrer que votre structure soutient les initiatives écologiques. Restez transparent autant que possible avec vos clients en ce qui concerne les informations relatives à vos produits ou à vos services.

En revanche, lorsque vous déployez une nouvelle stratégie digitale, n’hésitez pas à analyser vos performances web avec des indicateurs précis. Il peut notamment s’agir du taux de trafic de votre site, du taux de conversion, le Retour sur Investissement (ROI), du ranking SEO… Cela vous permet de réajuster votre stratégie digitale et de vous adapter aux nouvelles tendances au fur et à mesure.

Source : journal du CM

2022-03-05T13:50:47+01:005 mars 2022|Catégories : Digital, ETI, Marketing, PME, TPE|Mots-clés : , , , |0 commentaire

L’e-commerce devrait franchir la barre des 15 % du commerce de détail en France

La part de l’e-commerce dans le commerce de détail a atteint 14,1 % indique le bilan 2021 effectué par la Fevad, la fédération des professionnels du secteur. Les habitudes prises lors des confinements et de la fermeture des magasins perdurent, y compris dans l’alimentaire. En 2030, c’est la barre des 20 % qui pourrait être franchie.

Le commerce en ligne consolide les acquis de la crise sanitaire. La stabilité que le secteur affiche pour l’année 2021 (+1 % de progression selon la Fevad, Fédération de l’e-commerce) ne marque pas l’ébauche d’un plateau, voire d’un déclin. Cette petite hausse intervient après l’explosion que les confinements et la fermeture des magasins dits non essentiels ont provoquée en 2020. La comparaison avec 2019 éclaire le bond que les ventes en ligne de biens de consommation ont franchi : elles ont grimpé de 30 % en deux ans.

Deux secteurs ont fait mieux encore. Le mobilier a enregistré une hausse de 46 %. La crise sanitaire a cloîtré les télétravailleurs chez eux. Ils en ont profité pour améliorer leur intérieur. Les produits de grande consommation, pour l’essentiel l’alimentation, ont connu une explosion 51 % depuis 2019. L’e-commerce est entré dans le quotidien des Français.

Un achat en ligne par semaine

Les consommateurs effectuent désormais, en moyenne, 51 achats en ligne par an, soit un par semaine, pour un budget de 3.000 euros. Une enquête de Médiamétrie indique qu’un tiers des cyberacheteurs font leurs courses alimentaires sur le Net. « Les habitudes prises resteront. Les sondés qui ont acheté plus en ligne pendant la crise affirment qu’ils continueront de la faire », affirme Xavier Lemuet, directeur des grandes enquêtes de l’institut d’études.

« Les distributeurs n’ont pas le choix, c’est à eux de rendre l’e-commerce rentable », estime le président de la Fevad

Avec le rebond de la commercialisation de services sur la Toile, notamment des voyages et des séjours touristiques, même si le marché reste en deçà de son niveau d’avant-Covid, le total du marché du commerce en ligne a crû de 15 % en 2021 pour atteindre 129 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Dans cet ensemble, les produits matériels représentent désormais plus de la moitié des transactions (52 %).

Les revenus de l'e-commerce en France

Le classement des sites marchands les plus visités traduit les évolutions. Si le géant américain Amazon reste en tête (Kantar estime sa part de marché à 15 %), il est suivi de Leboncoin, de Cdiscount, de la FNAC, de Vinted, puis de Carrefour et Leclerc. Même Lidl qui ne vend pas sur Internet mais utilise son site pour la fidélisation de ses clients, se classe dixième !

Quatre ans en deux ans

C’est l’autre leçon de la crise sanitaire. La croissance de l’e-commerce a été tirée par les enseignes traditionnelles, celles qui exploitent des magasins et qui ont poussé les feux aux cours des 24 derniers mois. Il est courant de dire que la crise leur a fait gagner quatre ans de croissance en ligne. La Fevad indique que depuis 2019 les ventes des distributeurs « classiques » ont crû de 60 % quand celles des spécialistes du Net (les « pure players ») n’ont augmenté que de 10 %.

Marc Lolivier, le délégué général de la fédération professionnelle, pronostique que la barre des 15 % du commerce de détail sera franchie en 2022. « Il paraît raisonnable de dire qu’en 2030, Internet générera 20 % du commerce de détail », prédit-il.

La seconde main, bien plus qu’une mode

Dans l’étude sur les acheteurs en ligne publiée ce jeudi par Médiamétrie, une tendance lourde se dégage : la seconde main. Le sondage effectué auprès des cyberacheteurs français révèle que la moitié d’entre eux (50 %) affirment avoir effectué l’achat d’un produit d’occasion en ligne en 2021. « On a aussi observé que 80 % des personnes interrogées affirmait avoir vendu au moins une fois un objet sur les sites de seconde main comme Le Bon Coin ou Vinted », complète Xavier Lemuet, directeur des grandes enquêtes de l’institut. Au final, en additionnant les acheteurs et les vendeurs, ce sont 80 % de ceux qui achètent sur le Net qui participent au cercle vertueux de la revente. Seuls les plus de 50 ans montrent quelques réticences, notamment à porter un article déjà porté. « La seconde main, cela signifie une forme de décroissance pour ceux qui vendent du neuf », remarque Marc Lolivier, délégué général de la Fevad, la fédération de l’e-commerce pour le compte de laquelle Médiamétrie a travaillé.

Source: les echos

2022-03-05T10:52:35+01:005 mars 2022|Catégories : Digital, eCommerce, ETI, PME, TPE|Mots-clés : , |0 commentaire

Tendances Marketing 2022 : Comment les entreprises peuvent augmenter leur visibilité locale ?

En 2022, plus que jamais, les entreprises vont devoir réussir à gagner en visibilité auprès de prospects à proximité. Pour ce faire, elles pourront miser sur les avis clients et l’optimisation de leurs profils en ligne. Encore faut-il connaître les actions qui vont permettre de se démarquer de la concurrence pour attiser la curiosité des consommateurs, rassurer et convaincre des prospects qualifiés de se rendre en point de vente, puis les accompagner jusqu’à l’acte d’achat.

Tendance #1 – De nouveaux indicateurs de performance pour piloter sa visibilité locale

En 2022, le suivi des stratégies de Presence et de Review Management, qui permettent d’accroître la visibilité locale des entreprises, va continuer de se professionnaliser pour asseoir son influence sur la croissance des entreprises.

Afin d’obtenir un bon référencement local et attirer des prospects qualifiés, il est primordial de pouvoir présenter des informations homogènes à travers le nombre croissant d’annuaires, moteurs de recherche ou encore d’applications GPS ce qui va devenir de plus en plus complexe. Les solutions de Presence Management externes vont donc devenir cruciales pour piloter et optimiser la présence digitale de plusieurs points de vente. Ces solutions externes présentent non seulement l’avantage de fournir une vision d’ensemble des plateformes et points de vente, mais elles offrent également plus d’indicateurs de performance. À l’inverse de Google Business Profile par exemple, elles affichent des données à plus de trois mois et présentent les taux de conversion de fiche à demande d’itinéraire par exemple.

Côté Review Management, le calcul du chiffre d’affaires influencé par les avis clients contribuera à démontrer le retour sur investissement (ROI) des avis clients. À travers le taux d’influence des avis, c’est-à-dire le pourcentage de clients s’étant rendus en point de vente ou ayant finalisé leurs achats grâce aux avis, les entreprises pourront mieux répartir leurs budgets. Par extension, une partie des budgets publicitaires seront peut-être reversés aux efforts de présence digitale pour mieux convaincre et rassurer des prospects qualifiés.

Tendance #2 – L’émergence d’avis clients enregistrés à la voix

Siri, Google Assistant ou encore Alexa ne sont plus à présenter. Ces assistants vocaux sont devenus un réflexe de recherche pour bon nombre de consommateurs.

L’attention des consommateurs est de plus en plus difficile à obtenir. Il est fini le temps où il était possible de leur envoyer de très longs documents ou des enquêtes d’une soixantaine de questions. Laisser la possibilité de dicter des commentaires va donc permettre d’avoir des avis toujours plus pertinents et complets.

Tendance #3 – Émergence et démocratisation en France du métier de Voice of the Customer Manager

Comme souvent, la tendance nous vient tout droit d’outre-Atlantique. Abbie Griffin et John R. Hauser ont introduit le concept du Voice of the Customer et ses méthodologies à travers la revue Marketing Science en 1993. Selon les deux professeurs en marketing, le dispositif a pour objectif de collecter, de comprendre puis de hiérarchiser les besoins clients dès la conception d’un produit ou service. Depuis, de nombreuses entreprises internationales se sont emparées de la tendance à leur manière. À l’image d’Apple, d’Amazon ou encore de Toyota. Désormais, ce sont de véritables programmes Voice of the Customer qui permettent de booster l’attractivité et le taux de fidélisation client des entreprises. Et grâce à leurs succès, de plus en plus d’entreprises ont compris l’intérêt de la voix du client et dédient désormais un poste de Voice of the Customer Managers.

Jusqu’ici, la tendance des Voice of the Customer Managers était timide en France. Mais elle risque bien d’exploser en 2022 tant elle répond aux enjeux d’attraction et de fidélisation client si importants pour la pérennité d’une activité. Des entreprises de différents secteurs, comme Qonto ou encore Clarins, se sont déjà lancées et prouvent l’efficacité d’une stratégie 100 % centrée client.

Tendance #4 – L’importance décisive de Google Business Profile pour la visibilité locale

Le moteur de recherche Google est privilégié à 75 % par les internautes français lors de leurs recherches à propos d’entreprises qui les intéressent et la consultation de leurs avis. Et l’application d’itinéraires Google Maps n’est pas en reste puisqu’elle fait partie du top 5 des sources privilégiées. En 2022, les entreprises ne pourront plus se passer de Google pour accroître leur attractivité et générer du trafic au sein de leurs points de vente.

Grâce à Google Business Profile, les professionnels peuvent créer, vérifier, modifier ou encore revendiquer les fiches de leurs établissements depuis le moteur de recherche Google et l’application Google Maps. Cette nouveauté sera accompagnée, à travers l’année 2022, d’autres fonctionnalités qui vont renforcer la présence des professionnels à travers Google et leurs interactions avec leurs clients.

Avec ses évolutions, de plus en plus de professionnels vont pouvoir travailler plus simplement leur référencement local et se concurrencer à travers les outils Google. Il sera, par conséquent, primordial d’optimiser chaque profil Google Business pour assurer sa visibilité parmi les résultats de recherches de prospects à proximité.

Si la présence et la réputation digitales étaient déjà décisives pour l’activité des points de vente français, elles deviendront vitales en 2022. L’heure est à une communication authentique, à une stratégie 100 % centrée client et aux informations uniformisées pour se démarquer. C’est pour ces raisons que les stratégies de Presence et Review Management devront continuer d’accompagner les professionnels dans le pilotage de leur activité, faciliter ce suivi et la croissance de leur chiffre d’affaires à travers l’année 2022 et dans les années à venir.

Source: Forbes

2022-03-05T10:33:29+01:005 mars 2022|Catégories : Digital, ETI, Marketing, PME, TPE|Mots-clés : , |0 commentaire

Les métaverse vont réinventer l’expérience client

Apparu dans les romans de science-fiction à la fin des années 60, le concept de métaverse a refait surface à l’annonce de la transformation de Facebook en Meta en octobre dernier. Depuis, les conversations ne font que s’intensifier autour du potentiel de ces nouveaux mondes virtuels. A quel point les métavers vont-ils bouleverser notre rapport aux jeux, aux marques, au travail, ou tout simplement changer nos vies ?

Les métavers offrent la possibilité de se connecter virtuellement avec des personnes physiques du monde entier, dans des représentations de n’importe quel univers, de manière beaucoup plus disruptive et immersive qu’une visioconférence Zoom. Les opportunités commerciales pour les marques sont très vite apparues évidentes.

Actuellement, ce sont les développeurs qui mènent encore le jeu. Ils construisent les mondes virtuels qui vont offrir tout ce que l’on peut désirer, où les marques s’entrechoquent et où les moyens de divertissement fusionnent. Attirés par un potentiel commercial à priori illimité, des entreprises de tous bords s’empressent d’annoncer leur intention de rejoindre ces métavers.

Et ce n’est probablement qu’un début. Car d’un point de vue marketing, les métavers apportent aux marques une occasion intéressante d’entrer en contact avec des consommateurs auxquels elles avaient auparavant accès (ou pas) par des canaux plus traditionnels.

Métavers et big data : pour le meilleur ou pour le pire ?

A mesure que les métavers se développent, les volumes de données qui peuvent être générés semblent considérables. Et les types de données qui peuvent être collectés à partir des technologies de réalité virtuelle ou augmentée plus vastes qu’avec les cookies. À l’avenir, il ne sera donc pas si surprenant d’imaginer les marques opérant dans le métavers être en mesure d’examiner notre tension artérielle, notre rythme respiratoire ou d’autres aspects de notre santé.*

L’accélération de notre rythme cardiaque pourrait par exemple permettre de mesurer le succès d’un programme. Et les éditeurs pourraient alors vendre ces données aux annonceurs, qui utiliseraient ces informations pour créer des publicités encore plus personnalisées. Ces données pourraient également alimenter les algorithmes des entreprises afin de nous garder plus longtemps sur leur plateforme.

Si le fait de générer davantage de données n’est pas nécessairement une mauvaise chose, il faut tout de même considérer la protection de la vie privée – comment les données vont-elles être traitées, qui y a accès, à qui profitent-elles ?

Dans quel monde voulons-nous vivre ?

L’avènement des métavers questionne sur le type de société dans laquelle nous voulons vivre. Mais les réponses arrivent à un rythme plus lent que celui de la conception même de ces nouveaux univers. Fin d’année dernière, l’application de réalité virtuelle Oculus de Meta était déjà l’application la plus téléchargée dans l’App Store d’Apple.

Les métavers pourraient fournir l’évasion de la vie réelle à laquelle de nombreuses personnes aspirent. On peut évidemment se demander si c’est sain ou non, comme les personnes qui fuient les engagements sociaux pour jouer à des jeux vidéo pendant des heures, ou celles qui se créent une vitrine parfaite sur Instagram, ne montrant en réalité que 5 % de leur vie réelle.

Les métavers offrent à ces âmes la possibilité d’échapper à la réalité et de créer une vie qu’elles n’ont pas. Immanquablement, chaque nouveau cycle technologique présente des avantages et des inconvénients potentiels. Tout est question d’équilibre.

Créer des expériences qui ont du sens

Toutes les marques n’ont pas forcément de raison de se lancer dans les métavers. Les audiences vont-elles passer du temps dans les métavers ? Quels partenaires de l’écosystème d’une marque ambitionnent d’y aller et pour quoi faire ? S’engager dans les métavers n’est pas anodin, notamment en termes d’investissement, et peut même être risqué si l’expérience n’est pas à la hauteur des attentes du public.

L’important, en réalité, est l’histoire que les marques ont à raconter, la qualité de l’expérience qu’elles vont être capables de proposer, et surtout, la cohérence avec ce qu’elles sont dans le monde réel. Dans un objectif marketing, et au-delà du simple fait de s’immiscer dans la tendance pour être suiveur, comment les entreprises peuvent-elles s’emparer du phénomène pour se rapprocher encore plus du consommateur ?

Souvent, les entreprises prennent le problème à l’envers : elles pensent à leur stratégie et cherchent des canaux pour faire passer leur message. Les métavers ne sont pas réels mais tendent à créer une autre réalité avec plus de sincérité.

Les marques doivent donc s’insérer dans ce monde et proposer des expériences nouvelles, ne pas s’en servir à des fins marketing mais pour améliorer l’expérience utilisateur, proposer une extension de leur ADN dans le nouveau monde virtuel. Cela aidera à créer l’adhésion, puis la fidélité des consommateurs. Nous passons à l’ère de la confiance, de la communauté autour de la marque. Il faut donc revoir en profondeur les stratégies marketing pour y arriver.

Source: ZDNet

2022-05-04T14:04:12+02:005 mars 2022|Catégories : Commerce, Digital, eCommerce, ETI, GE, Metaverse, PME, TPE|Mots-clés : , , |0 commentaire
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